Montrouge; merci à tous.
Ce soir, nous voulons remercier:
- ceux qui nous ont suivis sur le blog et en particulier ceux qui nous ont laissé des messages sur celui-là: Laetitia et Franck, Margaux et Eva, David et Justine,Vanessa et Quentin, Suzy et Claude, Janine et Michel, Michèle, Josy et Michel, Laurent T., Magda et Didier, Antoine et Samina, Roseline, Agnes H.D., Shi Na, Anne-Claude et Pierre, Francine et Paul, Marie-Jeanne et Lulu, Christiane et Serge, Françoise et Bernard, Jean-Pierre G., Geneviève et Bernard, Dany et Bernard, Marysette, Catherine V., Françoise D., Anita G., Cécile T., Jean T., Barbara et Charles S., Patrick L.;
- ceux qui nous ont envoyé des mails et des messages sur Facebook que je ne peux pas citer.
- ceux dont nous avons fait la connaissance lors du voyage et qui sont devenus des amis et ceux rencontrés que nous connaissions déjà auparavant : René N. et Felix W. de Ho Chi Minh Ville, François T. de Phnom Penh, Serge T. de Sydney, Nathalie et Viviane de Papeete, Roger N. de Papeete, Anita G. du Chili, Barbara et Charles de Providence (USA) rencontrés au Chili, puis en Argentine, Cécile T. et Jean T. du Paraguay, Paulo Sergio, Paulo Roberto, Jacqueline et Regina de Rio...
- les gens avec qui nous avons échangé quelques phrases, quelques mots très rarement en français ou parfois, au-delà de la barrière de la langue, seulement quelques signes ou simplement un regard ou un sourire, toujours avec patience, sérénité et cordialité... Dans le train, à l'hôtel, au restaurant, dans la rue, lors des visites: la jeune fille russe et francophone du bureau d'information à Irkoutz, le guide de Bagan (Myanmar) fier d'avoir voté ce matin-là pour Aung San Suu Kyi, le couple de cyclistes anglais qui, au Chili, venait de l'extrême Sud et allait jusqu'en Colombie, le patron du restaurant français de Buenos Aires Pascal, le cycliste solitaire sur l'altiplano bolivien qui venait d'Alaska et allait à Ushuaïa, le couple de jeunes mariés belges au bord du lac Titicaca en route vers l'Equateur, le couple franco-péruvien propriétaire de l'hôtel de Cusco, etc.
Le voyage, du fait de nos lacunes (langue, pays...), nous rend vulnérables et nous oblige à nous rapprocher de l'autre. En outre, la curiosité et l'intérêt pour le pays font le reste.
Une bouteille à la mer: qui est Françoise D. qui nous a laissé un message sur le blog?