Montrouge: deuxième jour après le retour.
Ce soir, je veux juste dire que notre pays est le plus beau du monde, qu'il faut partir peut-être loin et longtemps pour s'en rendre compte et l'apprécier.
Et aussi que partout nous avons vu des personnes dynamiques, fiers de leur pays et assumer leur destin là où le destin les a placées, et c'est bien ainsi. Jamais, comme je le disais à des amis aujourd'hui, nous ne voudrions nous expatrier définitivement et ainsi nous couper de nos racines et de ne pas participer aux challenges collectifs qui se présentent à nous, comme aux autres pays d'ailleurs.
Chaque pays visité a des challenges à relever à des degrés divers dans tous les domaines, politique, social et économique et je retranscris de mémoire une inscription dans les rues de Sao Paulo qui m'a interpellé: "the problem is not the problem itself but the way you face the problem" (le problème n'est pas le problème lui-même mais la manière dont vous affrontez le problème).
Demain, je vais essayer de lister les personnes que nous devons remercier.