Epilogue du Tour du monde.
En juillet 2015, nous avions commencé en poésie. Si vous le voulez bien, terminons également ainsi, à Paris avec Guillaume Apollinaire, l'artilleur blessé à la guerre de 14-18:

Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu'il m'en souvienne
La joie venait toujours après la peine

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l'onde si lasse

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
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